Les gens du voyage

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La marginalité des gens du voyage
Avant la dénomination « gens du voyage », ils étaient appelés « Nomades »
Le terme nomade était utilisé car il désigne des personnes n’ayant pas de demeure ou de résidence fixe qui circule en France mais étant rattachés légalement à une localité considérée comme leur domicile, d’après le CNRTL.
Les gens du voyage, se considèrent comme Yéniches, Tsiganes, Roms, Gitans ou encore Manouches.
Les gens du voyage sont considérés comme tel depuis 1969 avec la création d’un statut administratif.
Ils seraient estimés entre 250 à 500 milles. Les Roms étant les plus nombreux en France.
Chaque famille possède sa façon de vivre. Certain peuvent être seulement sédentaires, d’autres peuvent être mobiles et certains les deux, selon leurs activités.

Les gens du voyage sont présents dans toutes les  régions françaises.
Leur marginalité
            Les gens du voyage sont marginaux par rapport à la société française. Cette marginalité, ne semble guère leur déplaire. Beaucoup de personnes, du peuple français les confondent avec les immigrants seulement à cause de leurs moyens de logement, des bâtiments petits et peu attirants ou des caravanes. Ils sont aussi considérés comme marginaux dû à leur mode de vie, leurs déplacements réguliers dépendant de leurs activités et des saisons. Cette marginalité leur bloque des portes tel que celle de l’éducation même si la demande de scolarisation des enfants des gens du voyage est forte. C’est pour cela que le CNED, centre national d’enseignement à distance a « ouvert ses portes » aux gens du voyage. Leurs moyens de rémunérations sont la vente de leurs produits sur les marchés ou l’entretien des pavillons et des maisons secondaires. Ces activités ne sont souvent que vu d’une manière très méprisante par la société. Ce qui augmente encore leur marginalité. En général, être gens du voyage est mal vu par la société qui en ont souvent peur et sont méfiants et suspicieux envers les gens du voyage. Certaines personnes les qualifient même de « voleurs ». Ensuite, les images montrées sur internet ont accentué la crainte des « Gitans » avec par exemple le clash entre plusieurs personnes de la famille Lopez de plus, Christophe Robert les qualifient d’« étrangers de l’intérieurs », mots pouvant être choquants. Mais la société leur trouve tout de même des aspects positifs tel que « Des musiciens de génie » accentué par Kendji Girac, lui-même enfant du voyage.
                                                                                                                                                     Florian  Marin

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